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Table de concertation des groupes de femmes du Bas-Saint-Laurent
Casier postal 308, Matane (Québec) G4W 3N2 418 562-7996
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Ni en ligne ni hors ligne : luttons contre les cyber violences genrées

Voici les programmations locales

Centre-femmes Catherine-Leblond
26 novembre à 13 h 30: Café-rencontre sur la communication non-violente
27 novembre à 13 h 30: Ciné-causerie "L'affaire Lorena Bobbitt"
27 et 29 novembre: Distribution de rubans blancs et sensibilisation dans
lieux publics ciblés
28 novembre à 13 h 30: Ciné-causerie "Plus jamais silencieuses"
30 novembre et 1er décembre de 9h à 17h: Atelier d'autodéfense pour
femmes
3 décembre à 13 h 30: Ciné-causerie "Les jours heureux"
4 décembre à 13 h 30: Ciné-causerie "Témoin CF"
5 décembre à 13 h 30: Le moment d'Elliza-Ève "Le contrôle coercitif"
6 décembre à 16: Vigie (lieu à confirmer)

CF Témiscouata:
25 novembre de 13 h 30 à 16 h: Projection du documentaire « Les
Héritières »
27 novembre au 4 décembre: kiosques dans les écoles secondaires du
Témiscouata en tant que membre du comité local 12 jours d’action au
Témiscouata: Dégelis, secteur Cabano, Sully, Squatec
Barrages routiers :
Dégelis : le 27 novembre de 12 h à 13 h 15
Sully : le 27 novembre de 16 h à 17 h
Lac-des-Aigles : le 26 novembre de 12 h à 13 h

La Gigogne
Kiosques de sensibilisation sur la violence conjugale:

25 novembre à 11h30 : Kiosque au CFPRO de Matane.
26 novembre à 11h30 : Kiosque au Cégep de Matane
2 décembre à 11h30 : Kiosque au Service Public d'Approvisionnement
Canada à Matane.
3 décembre à midi : Kiosque à la Polyvalente de Matane.
Barrage Opération Nationale concertée avec la SQ à Matane et Amqui

16 JOURS D’ACTION 2024 RIMOUSKI-NEIGETTE
20 novembre (Journée internationale du souvenir trans)
Manifestation et vigile de 15h à 17h devant l’Hôpital régional de Rimouski.
Rassemblement et court-métrage suivi d’une discussion (en mixité choisie)
de 17h à 19h

26 novembre à 18h00: Formation-conférence Te reconnais-tu? Parlons
des violences insidieuses. En virtuel. En collaboration avec Les 3Sex. Lien
d’inscription (gratuit):
https://us06web.zoom.us/meeting/register/tZUpcOugpzgjG9zYpRMrceDD-
fHoVtzr5tsX

3 décembre à 19h30: Soirée courts-métrages féministes suivie d’une
discussion au cinéma Paraloeil. Réservation des billets (gratuit) :
https://quoivivrerimouski.ca/courts-metrages-feministes
6 décembre à 18h: Commémoration pour l’attentat antiféministe à la
Polytechnique et l’ensemble des victimes de violences fondées

sur le genre. Cérémonie à 18h à l’Atrium de l’UQAR suivi d’une soupe
populaire à 19h à l’auriculaire de l’UQAR.

Centre Femmes de la Mitis
Jeudi 28 novembre de 17h à 20h: Projection du documentaire “Je vous
salue salope ; la misogynie au temps du numérique” suivi d’une discussion
au Château Landry de Mont-Joli (1588 Bd Jacques - Cartier, Mont-Joli)

Centre-Femmes du Ô Pays
26 novembre à 17h: Témoignage de deux survivantes en formule 5 à 7
avec bouchées au Centre
28 novembre à 10h: Oeuvre collective avec l’artiste Zélie Nayral au Village
des Sources en formule apporte ton lunch!
29 novembre à 9h: Atelier discussion “les violences genrées sous l’angle de
l’intersectionalité”
3 décembre: à 13h: Diffusion du film “Jamais plus”suivi d’une discussion au
Centre des femmes
6 décembre à 9h: Les microagressions avec l’équipe au Centre des
femmes.
Participation à deux barrages routiers et à deux kiosques dans des écoles
secondaires de la région.

REMPLACEMENT - oFFRE D'EMPLOI AGENT·E DE DÉVELOPPEMENT

DESCRIPTION DES TÂCHES

Sous la supervision de la coordonnatrice générale et en collaboration avec l’équipe de travail, l’agent·e de développement aura à effectuer différents mandats, dont les principaux sont de :

- Coordonner et animer 2 comités de partenaires provenant de différentes organisations régionales et nationales ;

- Rédiger ou contribuer à la rédaction de documents, argumentaires, rapports ;

- Collaborer avec les collègues et membres sur différents dossiers féministes ;

- Participer activement à la vie associative de l’organisme.

 

COMPÉTENCES ET EXPÉRIENCES RECHERCHÉES

Formation en lien avec l’emploi ou toute combinaison de formation et d’expériences pertinentes. Un minimum de 2 ans d’expérience en lien avec la description des tâches ci-haut est requis.

 

- Vous devez résider à temps plein au Bas-Saint-Laurent et être à l’aise de vous déplacer de façon régulière sur ce territoire.  Le télétravail est possible lorsqu’il n’y a pas de rencontres en présence prévues ;

- Avoir une capacité de vulgarisation pour différents types de partenariats ;

- Une bonne maîtrise du français oral et écrit sera un atout considéré ;

- Une connaissance du mouvement des femmes, du féminisme intersectionnel et du milieu communautaire seront des atouts considérés.

 

PROFIL RECHERCHÉ

Vous êtes une personne autonome, organisée et qui est à l’aise dans le travail d’équipe, autant en personne qu’à distance ? Vous êtes une personne qui aime être stimulée intellectuellement et qui a un bon esprit de synthèse ?  Si vous savez faire preuve d’ouverture, que vous êtes une personne rassembleuse, capable d’adaptation et que vous souhaitez contribuer à l’action collective en défense des droits des femmes et des personnes opprimées sur la base du genre, vous êtes la personne recherchée !

 

CE QUE NOUS OFFRONS ?

-            Un contrat de 28 heures par semaine du 5 mai au 31 décembre 2025 (remplacement d’absence pour maternité) avec possibilité de renouvellement ;

-            Un taux horaire débutant à 31.21$ / h (selon la politique salariale en vigueur) ;

-            Des assurances collectives après 3 mois, un régime de retraite, des congés santé ;

 

Les entrevues auront lieu les 9 et 10 avril 2025.

Faire parvenir un CV ainsi qu’une lettre ou un courriel d’intention à l’adresse suivante :

nathalie.bernier@femmes-bsl.qc.ca au plus tard le 1er avril 2025 à midi.

 

La TCGFSBL souhaite encourager les candidatures de femmes et personnes opprimées sur la base de leur genre et historiquement marginalisées et qui font face à des barrières systémiques à l’emploi (racisme, hétérosexisme, capacitisme, cisgenrisme, ou toute autre oppression/discrimination). Si vous le désirez, vous pouvez inscrire cette appartenance dans votre candidature. Ces candidatures seront priorisées.

 

offre_demploi_agente_de_developpement_remplacement_mars_2024.pdf (156 KB)

Publié le 1 mai 2023

Lettre aux diffuseurs bas-laurentiens contre la culture du viol

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Chers acteurs et actrices du milieu culturel du Bas-St-Laurent, 

Nous vous interpelons aujourd’hui au sujet de l’importance de prendre une responsabilité collective quant à la culture du viol mise en lumière depuis quelques années au Québec et partout dans le monde. Depuis les grandes vagues #MoiAussi, plusieurs couches de silence ont été brisées. L’impunité commence enfin à s’effriter et ceux et celles qui croyaient pouvoir faire ce qu’ils voulaient du corps et de l’intégrité des autres sont de plus en plus remis en question. Un grand travail est nécessaire pour renverser la vapeur et instaurer un monde dans lequel la culture du viol ne va plus de soi. Nous faisons appel à vous parce que vous êtes des acteurs et actrices clés de ce changement. Nous souhaitons vous amener à vous questionner sur votre processus de sélection d’artistes et à vous positionner quant à celui-ci. 

« La culture du viol est l’environnement social qui permet de normaliser et de justifier la violence sexuelle, alimentée par les inégalités persistantes entre les sexes et les attitudes à leur égard. La nommer est le premier pas à franchir pour la démanteler. » — ONU-Femmes — 

Encore aujourd’hui, le domaine culturel est un milieu hostile pour les femmes. En 2023, elles sont encore sous-représentées sur les scènes musicales du Québec, nous ne vous apprenons rien ici. Choisir de mettre de l’avant des personnes reconnues judiciairement ou socialement comme violentes ne fait que renforcer cette tendance, enrichir les dynamiques sexistes et conforter la culture du viol. Lorsqu’une personne accusée d’agression sexuelle est accueillie lors d’un événement le message qui est lancé aux femmes est le suivant : votre sécurité nous importe moins que la carrière d’un homme. Le message lancé aux agresseurs est le suivant : continuez comme ça, vos actions n'engendrent pas de conséquences. Une question urgente se pose alors : est-ce vraiment le monde que l’art et la culture veulent créer pour nos jeunes, les femmes et les artistes ? Pour nous, l’heure n’est plus au statu quo face à ces enjeux. Perpétuer la culture du viol n’est plus une option.  

Au moment de donner le bénéfice du doute et de programmer un artiste sur lequel circulent des allégations de harcèlement ou d’agressions sexuelles, rappelez-vous que les fausses allégations d’agression sexuelle ne représentent que 2 à 4 % des plaintes, soit la même proportion que pour l’ensemble des crimes de toute nature. Choisiriez-vous de programmer quelqu’un soupçonné d’un autre crime? Choisir de ne pas programmer un tel artiste, c’est accorder de l’espace au processus de guérison des survivantes. Laisser les artistes problématiques dans l’ombre, c’est aussi les inciter à prendre leurs responsabilités face à leur comportement.

Notre objectif n’est pas de gâcher la carrière de qui que ce soit ou d’exclure des gens. C’est au contraire de permettre l’inclusion et la sécurité du plus grand nombre, artistes et artisans, bénévoles, tout comme membres du public, en évitant les risques de violence et d’agressions. 

Nous savons que plusieurs événements font déjà état d’une programmation responsable. Plusieurs mesures existent afin d’offrir des espaces plus sécuritaires. Il peut s’agir de réfléchir aux critères de sélection des artistes, d’adopter un code d’éthique applicable tant aux équipes d’organisation qu’aux déroulement des activités, ou encore de former le personnel pour reconnaître et intervenir sur le harcèlement et les agressions sexuelles. Par ailleurs, différents organismes ont déjà produit du matériel de sensibilisation sur diverses bonnes pratiques comme la consommation responsable ou la séduction et les interactions respectueuses. Si vous cherchez de l’inspiration, nous vous encourageons à partager vos questions et vos bons coups entre acteurs du milieu culturel. Nous avons hâte de voir vos engagements à l'œuvre. 

Tout comme vous, nous avons à cœur le rayonnement de la créativité, du plaisir et de l’innovation. Nous célébrons les programmations qui démontrent leurs qualités tant artistiques qu’humaines. Ce que nous souhaitons, ce sont des environnements sécuritaires ou chacun.e peut s’amuser et s’épanouir sans risquer de subir des violences ou du harcèlement. Cela signifie des environnements exempts d’agresseurs où les autorités en place mettent sur pied des mesures pour prévenir les agressions et le harcèlement et intervenir de manière juste en cas de problème. 

Sonia Palato, Agente de développement

Nathalie Bernier, Coordonnatrice générale

Table de concertation des groupes de femmes du Bas-St-Laurent

 

C.C.

Pascal Bérubé, député provincial de Matane-Matapédia

Maïté Blanchette-Vézina, députée provinciale de Rimouski et ministre responsable de la région du Bas-Saint-Laurent et de la région de la Gaspésie-Îles-de-la-Madeleine

Amélie Dionne, députée pronvinciale de Rivière-du-Loup-Témiscouata

Mathieu Rivest, député provincial de la Côte-du-Sud

Maxime Blanchette-Joncas, député fédéral de Rimouski-Neigette - Témiscouata - Les Basques

Bernard Généreux, député fédéral de Montmagny - L’Islet - Kamouraska - Rivière-du-Loup

Kristina Michaud, députée fédérale d’Avignon - La Mitis - Matane - Matapédia

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