recherchons contractuel·les
Notre organisme (TCGFBSL) cherche à constituer une banque de ressources pour de l’ANIMATION, de la PRISE de NOTES et de la GARDE de SENTI pour ses assemblées régulières (4/an) et annuelle ainsi que d’autres rencontres ponctuelles qui se déroulent au Bas-Saint-Laurent. Si vous habitez la région et croyez posséder les compétences nécessaires pour l’un ou l’autre de ces postes contractuels, merci de nous envoyer une lettre mentionnant votre intérêt et vos expériences en lien avec l’un ou l’autre de ces postes à l’adresse courriel suivante : info@femmes-bsl.qc.ca
ANIMATION : Parmi les compétences recherchées
- Grande capacité d’écoute, de synthétisation ;
- Grande capacité à réagir et à gérer des tours de parole ;
- Capacité à gérer le temps ;
PRISE DE NOTES : Parmi les compétences recherchées
- Grande capacité d’écoute et de hiérarchisation des informations ;
- Capacité à sélectionner l’essentiel ;
- Capacité à respecter nos procédures, pratiques et politiques
GARDE DU SENTI : À discuter selon les besoins exprimés par les membres
Une connaissance du mouvement des femmes, du féminisme intersectionnel et du milieu communautaire seront des atouts considérés pour chacune des offres.
Ce que nous offrons :
- Préparation, travail en assemblée et *travail post-rencontre (*pour la prise de notes) rémunérés;
- Kilométrage, hébergement et perdiems pour vos repas remboursés.
- L’occasion de contribuer à l’action collective en défense des droits des femmes.
La TCGFSBL souhaite encourager les candidatures de femmes et personnes opprimées sur la base de leur genre et historiquement marginalisées faisant face à des barrières systémiques à l’emploi (racisme, hétérosexisme, capacitisme, cisgenrisme, ou toute autre oppression/discrimination). Si vous le désirez, vous pouvez inscrire cette appartenance dans votre candidature. Ces candidatures seront priorisées.
Soeurs, compagnes, camarades, à travers le monde !
Dans le cadre de la 5e action internationale de la Marche Mondiale des Femmes, et dans ce contexte d'isolement social, nous construisons les 24 heures de solidarité et d'actions féministes contre le pouvoir et l'impunité des sociétés transnationales.
Nous ne savons pas quand ni comment cette situation va se terminer, mais nous comprenons que c'est un moment très important pour élargir notre analyse politique et renforcer notre construction en tant que mouvement féministe international, de faire avancer nos alternatives à ce système.
Le 24 avril, nous nous sommes engagées à nous unir, en ligne, dans le monde entier pour dénoncer l'impact des sociétés transnationales qui exploitent et détruisent la vie des femmes. Nous nous souviendrons des milliers de femmes qui sont mortes ou blessées à cause de l'effondrement du bâtiment Rana Plaza au Bangladesh, en 2013.
À ce jour, les victimes et leurs familles n'ont toujours pas obtenu justice et les entreprises continuent d’exploiter les gens et les ressources naturelles pour plus de profit et de pouvoir.
La crise du coronavirus démontre les effets des inégalités sociales et économiques sur la vie des gens - et cela va s'intensifier dans un avenir proche.
En ce 24 avril, dans nos 24 heures d'actions solidaires, nous réaffirmons notre résistance envers les transnationales, protagonistes du capitalisme raciste et patriarcal !
Nous réaffirmons notre lutte pour une vie sans violence ! Nous rejetons l'agression et la spoliation des territoires, des corps et des communautés, la traite des êtres humains, l'exploitation sexuelle et les féminicides.
Nous disons non aux dettes, aux frontières et aux murs qui condamnent d'importants contingents de personnes, les expulsant de leurs territoires et leur refusant les droits fondamentaux au logement, à la nourriture et à manifester, tout en encourageant toutes sortes de guerres.
Nous rejetons les guerres, les sanctions économiques et les blocus, la militarisation et les armées transnationales, les outils de terreur, le viols et l'assassinat systématique des combattants sociaux.
Nous marchons pour transformer la société !
Dans les 24 heures de solidarité féministe, nous devons rendre visibles les alternatives que nous avons déjà construites : dans les quartiers, les écoles, dans les champs, les rues...
Aussi dans la construction de l'économie solidaire, l'agroécologie, la souveraineté alimentaire, l’éducation populaire et dans le mouvement organisé lui-même, composé de femmes qui soutiennent l'économie et qui, précisément pour cette raison, ont besoin de la transformer radicalement.
Nos alternatives féministes sont une façon de présenter, à travers des pratiques concrètes, les possibilités de transformation. Nos alternatives servent à changer le monde et la vie des femmes dans le même mouvement.
L'économie ne peut pas être séparée de la politique, de la santé et de la vie.
En ces temps de crise, l'économie féministe a beaucoup à nous apprendre: ancrer la durabilité de la vie au centre de nos pratiques de résistance et de nos propositions de transformation.
Nous sommes confrontées à la pandémie du coronavirus et à l'autoritarisme de nombreux gouvernements, et nous nous sommes fixé le défi de nous mobiliser tout en gardant la distance nécessaire à la prévention.
Nous résistons pour vivre, nous marchons pour transformer !